Exclusif : tous les employés de Google ne sont pas cools. Certains seraient même de droite. Visiblement, même les insiders ne semblaient pas au courant, vu l’affolement qui a suivi la publication en interne d’un essai, mettant notamment en évidence que tout le monde dans l’entreprise n’était pas enclin à laisser prospérer féminisme et autres théories du genre dans leur business, et ce, malgré la présence d’une vice-présidente en charge de ces questions.

L’essai est refléchi et invite tellement au débat que de nombreux médias en parle, d’abord pour s’indigner des propos du Googler puis, après qu’il se soit fait virer par la dite vice-présidente, en adoptant un ton un peu plus compassionnel.

Dans le même temps, le ministère du travail états-unien enquête sur des différences de salaire injustifiées entre hommes et femmes… chez Google.